…de Le Petit Journal:
Aujourd’hui Alain transmet sa passion pour la langue bretonne, notamment à son fils qui parle l’espagnol, le français et balbutie quelques mots de breton. Il donne aussi des cours aux plus motivés car la langue bretonne est une langue très complexe.
Aujourd’hui Alain transmet sa passion pour la langue bretonne, notamment à son fils qui parle l’espagnol, le français et balbutie quelques mots de breton. Il donne aussi des cours aux plus motivés car la langue bretonne est une langue très complexe.
"Le breton exprime un monde différent, il existe cinq verbes être en breton, deux en espagnol, un seul en français, la sensation de l'être peut donc avoir cinq formes. Pour apprendre le breton il faut déstructurer sa pensée, oublier l’ordre des mots, sujet, verbe, complément.
En breton on parle d’énonciatif hiérarchique, l’ordre des mots dépend donc de l’importance que l’on veut leur donner. L’objectif d’Alain est de faire perdurer cette langue qui a été interdite par un décret en 1902. A l'école si les élèves étaient surpris en train de parler breton on leur mettait un caillou dans la bouche et on leur faisait répéter je ne dois pas parler breton.
"Sous la génération de nos grands parents tout le monde parlait breton, nos parents le comprenaient que très peu et nous on n'en comprend que quelques mots qu'il nous reste de notre enfance."
En breton on parle d’énonciatif hiérarchique, l’ordre des mots dépend donc de l’importance que l’on veut leur donner. L’objectif d’Alain est de faire perdurer cette langue qui a été interdite par un décret en 1902. A l'école si les élèves étaient surpris en train de parler breton on leur mettait un caillou dans la bouche et on leur faisait répéter je ne dois pas parler breton.
"Sous la génération de nos grands parents tout le monde parlait breton, nos parents le comprenaient que très peu et nous on n'en comprend que quelques mots qu'il nous reste de notre enfance."
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