...de Le Télégramme:
De 1718 à 1742, deux évêques "quesnellistes" ont occupé le siège de Vannes. L’un d’eux se retrouva en conflit ouvert avec les jésuites du diocèse. « Des ferments de discorde apparurent également dans certaines communautés de religieuses. Les plus marquants furent ceux qui agitèrent le couvent des Carmélites de Nazareth », détaille Mgr Mahuas. Au sein de ce couvent, l’opposition fut telle qu’en 1727, « une lettre de cachet mit fin à tout ce tapage en exilant les religieuses les plus exaltées ».
De 1718 à 1742, deux évêques "quesnellistes" ont occupé le siège de Vannes. L’un d’eux se retrouva en conflit ouvert avec les jésuites du diocèse. « Des ferments de discorde apparurent également dans certaines communautés de religieuses. Les plus marquants furent ceux qui agitèrent le couvent des Carmélites de Nazareth », détaille Mgr Mahuas. Au sein de ce couvent, l’opposition fut telle qu’en 1727, « une lettre de cachet mit fin à tout ce tapage en exilant les religieuses les plus exaltées ».
Le doyen du chapitre a conclu son intervention par ces mots en vannetais à l’adresse de l’évêque : « Yehed, furnéz ha kalon, él ma larér én hor yezh brezhoneg », c’est-à-dire « Santé, sagesse, et courage, comme on dit dans notre langue bretonne ». Des vœux auxquels ont fait écho ceux de Mgr Centène : « À chacun d’entre vous et aux communautés que vous représentez, la santé, la paix, la prospérité et la joie ».
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